Mémoires. Plein Canal, fur-tout lorfquavec le doigt,il bouchoit le trou de la Hftule Près le bord de lanus. Cetrou étoit aulfi plus petit que le Canal de lurètre, puifquequand il urinoitfans le boucher, il rendoit coup beauplusdurine par la verge que par la liftule. Je crois avoir dé-montré que le trou interne de cette fiftule étoit au-delà du Sphinder, Ã'c par conféquent que lincifion devoit Sé-tendre sufques-lÃ. SI lon guérit quelquefois des fî ftules au périnée patlufage des bougies &c Fans Opération, ce ne Font pointcelles qui ont leur ouverture interne au-delà du Sphintter

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Mémoires . plein canal, fur-tout lorfquavec le doigt, il bouchoit le trou de la Hftule près le bord de lanus. Cetrou étoit aulfi plus petit que le canal de lurètre, puifquequand il urinoitfans le boucher, il rendoit beaucoup plusdurine par la verge que par la liftule. Je crois avoir dé-montré que le trou interne de cette fiftule étoit au-delà du Sphinder, ôc par conféquent que lincifion devoit sé-tendre jufques-là . Si lon guérit quelquefois des fîftules au périnée patlufage des bougies &c fans opération, ce ne font pointcelles qui ont leur ouverture interne au-delà du Sphintter, par des raifons que je ne rapporte point ici. Je conclus de cette Obfervation que les fiftules aupérinée du genre de celle-ci, font difficiles à guérir, ÃCquelles feront toujours incurables, fi lon ne commencepar détruire le virus vénérien qui en eft la caufe pre-mière, & que lopération fera toujours infru£tueufe quandle trou interne de la iîftule naura pas été compris danslincifion.. â¦â ssnx-* â H(ljîK-ïSSï:« K^ SX* «SCx-<- *xSSx--iSSx-t â¦â «Sxt RECHERCHES SUR LOPERATION CESARIENNE.Par M. S I M o N. PLufieurs Obfervations qui ont été communiquéesà lAcadémie fur laccouchement Céfarien qui aréuiïi fur la femme vivante, & particulièrement un exem-ple heureux de cette opération pratiquée depuis peu à Paris en préfence des plus habiles Accoucheurs de cetteVille & ae plufieurs autres Chirurgiens, mont engagé à faire des recherches fur cette matière ; jai crû que cetravail ne feroit pas inutile, parce que la plupart des Chi-rurgiens paroifTent douter encore aujourdhui de la pofTi-bilité de cette opération. Je diviferai cet ouvrage en deux parties ; dans la pre-mière je rapporterai forigine de lopération Céfarienne, les différentes difputes quelle a occafionnées, les autorités& les faits qui font juger du fuccès qu

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