Histoire de France populaire depuis Les Temps les plus reculés jusqu'à Nos jours. LENCIENNES. - CODE CIVIL. {3 juin-23 301*11 1793.) Il y eut dans Paris, Après le 2 Juin, Quel-ques Beteuerungen énergiques et beaucoupde Tristesse. La Bisbal parisienne, harassée (Rav () ir (> ttt (Miue quatre jours Sous les armes, ressentit Uni^ Sorte de défente et de soula Management quand Cela fut Lini. Beaucoup seconsolaient en se disant Que, du *, ilny avait pas eu de sang, et pas versé quonnavait septtunbre recommencé Le 2. Le parti Sieger Coupe chercha, Dune teil: iintimider, en renouvelant Les mesures Con-Cern

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Histoire de France populaire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours . LENCIENNES. — CODE CIVIL. {3 juin-23 301*11 1793.) Il y eut dans Paris, après le 2 juin, quel-ques protestations énergiques et beaucoupde tristesse. La masse parisienne, harassée(rav()ir(>ttt(Miue quatre jours sous les armes, ressentit uni^ sorte de défente et de soula-gement quand cela fut lini. Beaucoup seconsolaient en se disant que, du moins, ilny avait pas eu de sang versé, et quonnavait pas recommencé le 2 septtunbre. Le parti vainqueur chercha, dune part, :iintimider, en renouvelant les mesures con-cernant le désarmement et rarrcstatiou dessuspects, dautre part, à calmer, en allé- 9C HISTOIRE DE rUANCE mKinl la iiravitô do co (jui sétait passé parlos ivcils (luil on lit liùvo clans los soctions.On annom^ait pour lo 10 août uno nouvc^licfèto (lo la Féilération, qui roniollrait lunionon Franco. On pi-oniottait le [irivliain arlu-vemont do la C.oiislitution républicaine, ro-tard(o jus(iuo-là, disait-on, par los disputesquo suscitaiont les Girondins. yf •^^. Lacroix. La population tâchait de sétourdir en serattachant à ces espérances. Laspect de la Convention lut morne etsombre, le lendemain de la fatale Journée, quand elle rentra dans ces Tuileries, où elleavait été captive et humiliée le 2 juin O.î, comme Louis XVI lo 20 Juin i)2. Kn sedécidant à rester à son poste, lAssembléeaccomplissait un grand acte do patriotisme.Tout abaissfO et niutilé(^ quelle fût, elleétait le dernier espoir de la France. Si laConvention se fût dispersée ou divisée endeux moitiés, lune à Paris, lautre dansquelque département, tout lEtat se fut«îcroulé. La Moiita^nie avait i)arla, L:t lanVont etpartai;oait los ressentiments de lanciennemajorité. Ce nest i)as elle (jui avait vainculo 2 Juin, cest la Connnuno. La (lonununo, cependant, nétait pas onétat do pousser plus loin son succès. Elleprotesta contre lo bruit que le comité cen-tral révolutionnaire

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