Die Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres). Il paroîtpar la Suite de ses autres écrits, et ceux qui nous restes deses contemporains, quaprès ce qui regarde lintelligence delEscriture Sainte et la controverse, il ny eut point alors dematière sur laquelle on écrivit davantage, et peut-être aecplus de succès, que la morale. Theodulfe dOrléans en pritle sujet de deux de ses plus longs, disons même de ses plusbeaux poëmes; emploïa

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Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres) . letres. Il paroîtpar la suite de ses autres écrits, et ceux qui nous restent deses contemporains, quaprès ce qui regarde lintelligence delEcriture Sainte et la controverse, il ny eut point alors dematière sur laquelle on écrivit davantage, et peut-être aecplus de succès, que la morale. Theodulfe dOrléans en pritle sujet de deux de ses plus longs, disons même de ses plusbeaux poëmes ; emploïant lun à décrire les devoirs des Ju-ges, et lautre à traiter des sept péchés capitaux. On peut direaussi que son fameux Capitulaire, comme la plupart de ceuxde Gharlemagne, roulent autant sur des points de morale, que sur des points de discipline. Cest encore la morale quifournit à lAbbé Smaragde, autre savant contemporain dAl-cuin et de Theodulfe, la matière de deux de ses principauxouvrages : son Via regia, où il traite des vices et des vertuspar rapport aux Fidèles en général ; et son Diadema Mo7ia-chorum, où il reprend le même sujet par rapport aux Moinesen particulier.. Alc.p.lloO.lljl Iep. 69. 70. lOi. TlieoJ. 1. 11. ri. Car. .Cari. 32 ETAT DES LETRES XLiX. Ce fat par tous les divers moïens, dont ont vientde donner une légère idée, que la lumière sous lempire deCharlemagne fut rendue aux Letres, et par les Letres à lavérité. Lon vit aussi renaître quelque chose du bon goût et dela politesse des anciens Gaulois, et à la faveur de lun et delautre on travailla à faire reprendre aux beaux Arts un nou-sang. 1. 1. n. 31. vcau lustrc. Un historien peu éloigné de ce temps-là, remar-?^^ que en effet quon perfectionna alors le secret de fondre les cloches et lArchitecture. On réhausse à ce sujet la magnifi-cence, le dessein et lexécution de léglise et du palais quonbâtit alors à Aix-la-Chapelle, avec les appartements qui lesMal).a

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