Die Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres). Qui avaitainsi perdu, suivant son Expression, toute sa clergie, et qualle être en vérengue en vérengue, en vérencor en vérencor en vérencor en Nesoient attribuées à un ancien élève des moines; car il finitpar promettre à quiconque lui donnera de quoi racheter seslivres, de le recommandeure aux prières du chapiter, lorsquilsera revenu dans son couvent. voilà comment des trouvères pouvaient descendre peu àpeu da

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Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres) . qui avaitainsi perdu, suivant son expression, toute sa clergie, et quonsuppose être devenu alors un rimeur en langue vulgaire, nesoient attribuées à un ancien élève des moines; car il finitpar promettre à quiconque lui donnera de quoi racheter seslivres, de le recommander aux prières du chapitre, lorsquilsera revenu dans son couvent. Voilà comment des trouvères pouvaient descendre peu àpeu dans les rangs des jongleurs ou ménétriers ambulants.Ils descendaient quelquefois plus bas; mais cétait déjà, sur-tout dans nos plus anciennes provinces, un triste spectaclequun trouvère devenu jongleur. Les gens de ce métier, pres-que dès lorigine, encoururent une sorte de décri public, auquel leur nom , après tant de vicissitudes, na pas encoreéchappé. Il y a longtemps quon se plaint en France des jon-gleurs et des jongleries. Cette prévention, cette haine, dumoins de la part des hommes graves, alla souvent jusquà ladamnation. Une traduction française du Lucidaire, espèce. FABLIAUX. , 0, de petit catéchisme où sont résumées les croyances commu- -^^ ^^^^:nés, expnme ainsi lopmion du temps sur les jongleurs • « Li M^- :9«9, « deciples demande : Quel espérance pueent avoir li ion- ^°8v°.« gleour? Li maistres respond : JNule; car toutes leurs eiiten-« ces sont el mestier du diable; car de ceus est il escrit : Quil« ne connurent Nostre Signeur, et pour cou si les a Diex en« despit ; et pour cou quil furent escarnisseur, si les escar- Psaume „, v« nira Uiex. » D ou leur venait cette mauvaise renommée? *< ? Nous en saurions davantage et sur eux et sur leurs maîtresles trouvères, si Raoul de Houdenc, un de ceux-ci, nous Hi.t ii„ deavait communique le livre que lui mit entre les mains, comme la Fr./, . x<ni, U le raconte dans l

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