Revue de l'art Chrétien. Florenz fournit Les Artistes, Rom les mo-dèles; aucune dépense Nest épargnée. Eugène IVcontinue loeuvre de Martin V; Antonio Filarè-te exécute les Portes de la Vatikanstaat, qui sontplacées Le 26 juin 1445. Saint-Pierre se relève deses Ruinen, auf Le répare, auf laugmente, Donatello 238 3^ eDue de r^rr cbréttcn. sculpte Les merveilleux Laubhütten de la sa-cristie. Nicolas V voulue Rom reine du Monde. Ilprend comme arcliitectes Bernardo Rossellini deFlorence et Léon Baptista Albertini, gießen Pein - tres, Fra Angelico et Benozzo Gozzoli. Avançonset admirons les Skulpturen de

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Revue de l'art chrétien . Florence fournit les artistes, Rome les mo-dèles; aucune dépense nest épargnée. Eugène IVcontinue lœuvre de Martin V ; Antonio Filarè-te exécute les portes de la Vaticane, qui sontplacées le 26 juin 1445. Saint-Pierre se relève deses ruines, on le répare, on laugmente, Donatello 238 3^eDue De r^rr cbréttcn. sculpte les merveilleux tabernacles de la sa-cristie. Nicolas V voulue Rome reine du monde. Ilprend comme arcliitectes Bernardo Rossellini deFlorence et Léon Baptista Albertini, pour pein-tres, Fra Angelico et Benozzo Gozzoli. Avançonset admirons les sculptures de Paolo Romano, lesfresques de Pinturrichio, les broderies de la chape du dôme de Pienza, le tombeau de Paul II parGiovani Dalmata et Mino da Fiesole, puis nouspénétrerons dans la Sixtine ovi nous verrons lesfresques de Ghirlandajo, de Perugin, de Botti-celli. Lœuvre de Jules II, celle de Léon X, vont setrouver racontées avec Bramante, et ses plans, avecMichel-Ange et ses fresques ; puis cest Raphaël i^^. j^i fÔUVON!VAVCOifDONrrASaO^AÂ:>EôA: AitXlJsi, y.jklir:A:-DOAVlNlNIxaVlO-5r{iÀilK:^£EAr ^LV^^TVAUXUivDÊNi5ASVAAR0^ACAa?AVl^!AtAGwMi..^M?VAIV, i^iil^AIi&l?KMr^lNC0N:^A50lV^ . .^ Une page du Cûdci- Koiiiatiiis de Virgile représentant le iioète. (Biblioihcque valicane fonds vat. lat. 3Ë67.) et sa Dispute du Saint-Sacrement, son ÉcoledAtiièneSjSon Parnasse, sa Chambre dHéliodore, lIncendie du Bourg, ses loges, ses portraits deJules II, de Léon X, dont une série de gravuressupeibes nous donnera les plus exactes repro-ductions. Mais en terminant, malgré léclat des splen-deurs qui viennent de défiler devant nos yeux, ne restons pas éblouis : retournons quelques siè-cles en arrière, et quand nous aurons revécu quelques instants avec le Moyen Age, nous nousinclinerons devant le jugement de Léon XIII, quipropose à limitation et à ladmiration des artisteschrétiens, les glorieuses œuvres du XII1= siècle.La bibliothèque Vaticane est devenue

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