. [Paraphrase des pseavmes de David, : En vers françois, . hommes barbares & impies. Npjppjpjgp£Ét§ti^i J A n s le péril qui mènuironnc, Tin- gSlÉîli^^llIÉ^iifell uoque le nom du seigneur, de qui je fuy les ^HI^iîÉHîïlIiïl Loix, et lors quon croit quil mabandonne , il =^^e e e ores ;il ma vote lix. Des traits de ces lèvres méchantes,Qui blefTent mon honneur en prefence du Roy,des coups de ces langues tranchantes,.Dieu dIfrael deîiure-moy. De tant de noires impoflures,Barbares, penfez- vous recueillir quelque honneur?De mes funeftes auenturesTirerez-vous voftre bon-heur? T 434 Pa

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. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . hommes barbares & impies. npjppjpjgp£Ét§ti^i J A n s le péril qui mènuironnc, Tin- gSlÉîli^^llIÉ^iifell uoque le nom du Seigneur, de qui je fuy les ^HI^iîÉHîïlIiïl Loix, Et lors quon croit quil mabandonne , Il =|e|e^^e|e|s ;i prefte loreille a. ma voix.. Des traits de ces lèvres méchantes, Qui blefTent mon honneur en prefence du Roy, Des coups de ces langues tranchantes, .Dieu dIfrael deîiure-moy. De tant de noires impoflures, Barbares, penfez- vous recueillir quelque honneur?De mes funeftes auenturesTirerez-vous voftre bon-heur? T 434 Paraphrasa Vos langues font enucnimées, Vos rapports mcnfongers, vos perfides difcours>Comme des flèches enflammées, Percent monôme tous les jours. Que mon deftineft déplorable!Que mon exil eft rude, & quil dure long-temps!Gedar que je fuis miferable, Parmy tes cruels habitansl Pourroit-on trouuer fur la terreVn plusfafcheux fejour, vn peuple plus brutal?le parle de paix, eux de guene, Et ma bonté me fait du mal. **************. $YR LE PflAVME C X X. iï PSEAVME CXX.Leuaui oculos meos in montes. A RG V M EN?. Dauid eftant a la gueire, compofiMe Tfiaume, f$ur deman-der l* afliftance diuine 3 en laquelle feule il protejtedeficonfier. giiiinl E regarde de toutes parts, Qui me peut fau- piliUHiPJ^liiÉli! uer des hazars D*vne longue ÔC pénible guer-re j Les hommes me trompent toufiours, Le Dieu du Ciel ÔC de la Terre Meft feul fidelle C-::—: en Ton fecours. Ifraël, qui gardes fa Loy, Ne crains point que jamais pour toyCet amoureux Père fommeille, Qu, il te laiile tomber à bas, Et que fa bonté nompareilleNe guide U nallure tes pas. Non, il ne fommeillera pointCe Dieu de qui lhonneur eft joinîA tes triomphes, à ta joye;Comment feroit-il endormy ?Comment laiflèroit-il en proyeSes enfans à fon ennemy* Tij W$É Par ashras a Quelle faueur ! quelle bonté !Vn Dieu de qui la MajeftéAuec tant de fpîëndeur éclate, A toufiours vn foin paternelPour toy, que ta

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