Oeuvres. leurs vifages. Soyez le bien Venu, dit-il, & commencez ein mir raconter vos Voyages. Jai du lûifir; parlez, & mich réjouiffez, {Sire, dit le Cheval faiant La révérence; ich Scachez dabord la différence • De Mon pais à Celui-ci9I Les Hommes y font Blancs; je les Vois noir ici. Là les campagnes & Les arbresi Erillent dune Blanche toifon, Que Le Ciel y verfe à foifonj Les fleuves durs Comme Les marbres, Se traverfent à pied, portent dénormes poids O iinfolent menteur! Interompt Le Monarque î Ça) LAngleterre. L V, SÇO (SUVRES DE M. DE LA MoTTE, Me croit-il une Dupe f en ai-ie quelque Marque

• Bildanbieter: The Reading Room / Alamy Stock Foto
• Bild-ID: 2AJ82J4
• Dateigröße: 7,2 MB (188,7 KB Komprimierter Download)
• Freigaben (Releases): Model - nein | Eigentum - nein
• Format: 1697 x 1473 px | 28,7 x 24,9 cm | 11,3 x 9,8 inches | 150dpi

Weitere Informationen

Dieses Bild ist ein gemeinfreies Bild. Dies bedeutet, dass entweder das Urheberrecht dafür abgelaufen ist oder der Inhaber des Bildes auf sein Urheberrecht verzichtet hat. Alamy berechnet Ihnen eine Gebühr für den Zugriff auf die hochauflösende Kopie des Bildes.

Dieses Bild kann kleinere Mängel aufweisen, da es sich um ein historisches Bild oder ein Reportagebild handel

Oeuvres . leurs vifages.Soyez le bien venu, dit-il, & commencez A me raconter vos voyages.Jai du lûifir ; parlez, & me réjouiffez, {Sire , dit le Cheval faiant la révérence;i Scachez dabord la différence• De mon pais à celui-ci 9 I Les hommes y font blancs ; je les vois noir ici. Là les campagnes & les arbresi Erillent dune blanche toifon , Que le Ciel y verfe à foifonj Les fleuves durs comme les marbres, Se traverfent à pied, portent dénormes poids O iinfolent menteur ! interompt le Monarque î Ça) LAngleterre. L v , SÇO (SUVRES DE M. DE LA MoTTE, Me croit-il une dupe f en ai-ie quelque marque ? Eft-ceainli quon impofe aux Rois ? Notre Voyageur quadrupède Veut repartir ; il neu, plus tenu. Au diable le trompeur de gens, Cria toute la Cour: on vous le chafle ; il cède. Aux coups de cornes & de dents. Tel erpritfort, foit difant infaillible, Nie avec même orgueil, tout ce qui le furprend.Je ne le conçois point ; donc il eft impoflible. Vrai iîllogifme dignorant !. Livre IV. 251 LES ANIMAUX COMÉDIENS, FABLE Xr III.A MONSIEUR GILLOT. G. Illot , mon frère en Apollon ;Car ce neft pas par fantaifieQue la Peinture avec la PoëfieFraternife au facré Vallon ;Leur origine en effet eft pareille ;Lune & lautre eft un don des Cieux rCe que par les difcours lune peint à loreille »Lautre par les couleurs fçait le conter aux yeux.Les Animaux qui parlent dans mes Fables tDoivent agir dans tes tableaux.Montre-les fous des traits naïfs & véritables ; Que fous ta main , Quadrupèdes, Oifeaux »Infedes, que tout prenne une ame.Vole plutôt au Ciel y dérober la flâme Dont (a Prométhée autrefois animaLe corps humain que lui-même il forma.Argumente par ton génieContre lorgueil CartéiîenDont la Logique aux animaux dénie (a Il flic puni poiir avoir animé lhomme du (eu quil avoiriérobé dans le Ciel. Lvj if a (FuVRES DE M. DE LA MoTTI , Crainte , defir & tout : je ny foufcris en rien.Je les fais raifonner ; & ton art, je men flate , Mem

Stockbilder mithilfe von Tags suchen

• bookidoeuvreslamotte0
• bookpublisherparispraultlan
• buchjahr1754