. Oeuvres diverses de Jules Janin. Ein tabledes Grands, occuper Les premières Orte, Sem-parer de la Gespräch, parler de tout, tout, déciderde commettre Mille insolences Chez leurs 94 BARNAVE. imbéciles Mécènes, sortir du Salon sans dire adieuau Premier Moment d^Ennui, et, dans Tanti - chambre, affectueusement prendre la Main dumaître dhôtel. Voilà ce que le Riche avait gagnéà faire du Métier dartiste un Métier de Männer - diant. Auf les forçait, Ces pauvres Diables, à plierle genou Dîner pour, Il est Vrai; Mais, une foisrepus, Leur rôle changeait, et cétait au Tour delamphitryon à sabaisser. Croye

. Oeuvres diverses de Jules Janin. Ein tabledes Grands, occuper Les premières Orte, Sem-parer de la Gespräch, parler de tout, tout, déciderde commettre Mille insolences Chez leurs 94 BARNAVE. imbéciles Mécènes, sortir du Salon sans dire adieuau Premier Moment d^Ennui, et, dans Tanti - chambre, affectueusement prendre la Main dumaître dhôtel. Voilà ce que le Riche avait gagnéà faire du Métier dartiste un Métier de Männer - diant. Auf les forçait, Ces pauvres Diables, à plierle genou Dîner pour, Il est Vrai; Mais, une foisrepus, Leur rôle changeait, et cétait au Tour delamphitryon à sabaisser. Croye Stockfoto

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RM2AFKYB3–. Oeuvres diverses de Jules Janin. 39003 002537602 b CE-PQ 2311 • J2 1876 VOÛl/11 COI JA^ INt JULESACC #12242 C5 CEUVRES CIVE: o^: &Lt;^j n^:. PARIS LIBRAIRIE DES BIBLIOPHILEN Rue Saint-Honoré, 338 M DCC-C LXXVIII V, 1/Vorwort

RM2AFKMC7–. Oeuvres diverses de Jules Janin. Kapitel XXIV. PRÉSAGES. Tu es faux comme la poignée de maindun Ministre de Tintérieur. Nestor Roqueplan. Combien as-tu vu de Corneilles? Brucker.. Und Le Sorcier fut Parti, il y eut danscette Assemblée si paisible un momentinexprimable dabattement. Cette voixformidable retentissait Encore; ces pauvres fem-mes, éplorées et tremblantes, Autant excitées parles bouffonneries que par les tristes révélationsdu entouraient magicien, la Reine, Muette de Ter - reur; les hommes, le rôle quils avaientjoué honteux, gardaient un Profond Stille; la Reine pleu-rait en Sang

RM2AFKXTE–. Oeuvres diverses de Jules Janin. BARNAVE CHAPITRE PREMIER. PRÉLIMINAIRES. Ce ne sera rien: Nous en seronsquittes pour la peur et quelquesbouffées de mauvaise humeur quilfaudra Unterstützer gießen. Diderot. Wenn^ jJJJlj e ne suis aujourdhui quun malheu - reux Prinz allemand, Vieux, infirme, volontaire, Vivant dans le passé, fortindifférent au vorhanden et à Tavenir, ne Mieter àrien, pas même aux gothiques préjugés de mamaison. Cependant, Tel qu ^ auf pourrait me voir, mollement enfoncé dans mon Fauteuil armorié, je n^ai pas toujours été Allemand. Moi;, qui vous 24 BAHNAVE. Parle, Jai été Français un-instan

RM2AFKP90–. Oeuvres diverses de Jules Janin. Kapitel XV. LE MARIAGE DE FIGARO. Ce-nest plus un Docteur, Mesz unemagicienne. (M. DE MoNTALivET, Ministre delintérieur. Définition de lartdramatique à la Chambre desdéputés.). Se, me rappelle encore Le Premier jouroù rhonneur Jeus de conduire Mamère au Théâtre-Français. Il fallut devives Protections pour nous Vermittler une Loge. Nous fûmes rendus au théâtre de bonne heure; cétait la première fois que Ma mère entrâmes attendait. Quand nous, La Salle était remplie Jus-ques aux Combles. Lattente était Grande: unecurieuse Aufmerksamkeit se lisait Déjà sur tous les Visa

RM2AFKH7Y–. Oeuvres diverses de Jules Janin. s Nerfs et suspendez-les derrière la porte; vous Les reprendrez Après, sivous Posez. "Ce-schroff Debüt attira Tattention. Le conteur, sans attendre quon Lui répondît, commença Brus-quement; Sohn récit était saccadé, Morgen, brûlant, Fauve. La France entrait alors dans ce Style heurtéet peu Français qui Verfassen toute sa littératuredepuis Quarante ans.ce-Messieurs, dit Thomme, Il est Facile dêtrecourtisan défendre et de toutes les Monarchien, même Celle des Ptolémées. Moi qui vous Parle, je suis * Vieux que M. de Saint-Germain; jene Remonte quà Tibère. Cétait là

RM2AFKJHC–. Oeuvres diverses de Jules Janin.de Paris Pour Moi, plus de longues Promenaden, plus dobservationssans fin dans ces moeurs étranges; cette fois mavie ein un-aber, un aber Königlichen Erlasses; oder, cétait justementlà ce que Je voulais éviter: Autant valait Lam-gesellschaftsprogramm! Sans Doute mon Compagnon comprit ma Pensée: 256 BARNAVE. "Cependant, mir dit-il, ne rien à votregenre changez de vie, livrez-vous à vos penchants dejeune Homme et à votre rêverie Allemande. Allezau bal si vous aimez le bal; faites Tamoursivousaimez Tamour, seulement brusquez-le comme ilveut être brusqué aujourdhui; gardez-vous de leprendre au

RM2AFKRM2–. Oeuvres diverses de Jules Janin.de Fanchon, je métais sentiperdu sans retour... Jétais honteux de Mon hé - roïsme inutile. Si subitement Revenir sur unedécision qui m^avait tant coûté, quel Malheur! Sans songer à mes angoisses, Fanchon Fanchon regardait regardaitJulien, Julien, égalementpassionnés tous les Deux. Ce-Spektakel mich fendaitle Coeur. Jétais si ému Quil ne mir Vint pas en idée àquelle rivalité je mexposais! Telle fut ma pre-mière dégalité leçon; La leçon mich Profita depuis. Cependant, et comme pour me Donner unecontenance, je portai mes was Du côté delAllemagne, Lende, Bien loin du

RM2AFKXHD–. Oeuvres diverses de Jules Janin. cette Cour de Marie-Antoinette si mêléede Jeunesse et de décrépitude, de femmes char-mantes et de vieilles Herzoginnen, de Vertu et de fai-blesse, de pur Amour Et de méprisables voluptés! Grands noms, célébrités Perdues, renomméesfameuses, intrigants Subalternes, dévouement 28 BARNAVE. sublime; le joueur, La courtisane, le Guerrier, lâche lehéros, Le, le plus vertueux des monarques, la Plus Belle et la plus malheureuse des reines: tout était là. Au dehors, La hideuse banqueroute, le déshon - neur nationaler, Pardente calomnie; des rivalitéspresque Royales au dedans,

RM2AFKMRE–. Oeuvres diverses de Jules Janin. fatuité sans Leichenschauhaus, plus depréjugés sans Bosheit, plus de sans rancunes Co-Lère, Mais aussi plus dadmirations imprudentes, plus de médisances cruelles, plus de projets enlair, plus de plant étranges pour le bonheur duroyaume, plus de décisions burlesques, plus des-prit, plus de scepticisme, plus dincrédulité mo-queuse, plus dinsouciance et de jeunesse quonnen mettait dans ces Entretiens oisifs, qui Tou-chaient pourtant aux Doktrinen les plus respecta-bles et aux fondements de les plus solides TÉtat. Präsentation. 189 Javais ins regardJ ma Jeune cousine Dan

RM2AFKW5R–. Oeuvres diverses de Jules Janin. Urs du Cabinet impé - rial. Elle avait sollicité autrefois plus heureuse. Le Gentilhomme de service attendait pourmintroduire. Je nai jamais vu de Abbildung plusdéplaisante: des Traces de Petite vérole par inter-valles, une cravate Blanche, Un Sourire verblassen, undos voûté. C^ était à tout prendre un-gentilhommefort festgelegt. 4^ BARNAVE. Comme je vous Le dis, la porte ouverte: àtravers était Le Salon, et Assis à son Bureau, je décou - vris Sa Majestätsbeleidigung, qui taillait une Plu mich enmatten-ter. Jallais entrer. Je regardai Malheureusement encore une foisce Gentilhomme, et

RM2AFKKDP–. Oeuvres diverses de Jules Janin. Es cachéesdans Sohn Korsett. "Allons voir, dit le Roi, Sil y a" des tombes ouvertes Dans Le cimetière Là-haut! "C (Ils allèrent au Cimetière: Trois tombes étaientouvertes toutes Fraîches; la terre deux Côtés, amonceléedes était Noire et Zerreibbar comme Le terreaude ces Jardins Et prête à retomber des Deux Côtés. "Voici trois tombes! Dit Le Roi. c (Cest à venir De faire Peau à la bouche! "Reprit La Marquise de Riant. c< Ils plaisantèrent ainsi fort longtemps sur cestrous si artistement creusés. "Le Roi ne songeait pas en ce Moment quil ya toujours un-t

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