Nouvelle histoire de Lyon et des Provinzen de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes. Speisen. Fac-lauteur similé par. Cette Miniatur est Contemporaine de la révoltelyonnaise, et, quoiquelle lattaquedune sapplique à ville de La Palestine, Elle représente Exacte- les Kostüme du Temps. Par une coïncidence, qui ajoute à lexactitude de lattribution, La bannière du Chef des assiégeants un Lion et cétait Le Blason de Montfort (vgl. S./, 5a. Abb. porte. 4-2). Il Faut Ce n Ull milice était pas seulement noter que lartiste, qui navait vu Sans Doute que les tournois, a Donné aux Chevaux

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Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . dine. Fac-similé par lauteur. Cette miniature est contemporaine de la révoltelyonnaise, et, quoiquelle sapplique à lattaquedune ville de la Palestine, elle représente exacte-ment les costumes du temps.Par une coïncidence, qui ajoute à lexactitude de lattribution, la bannière du chef des assiégeants porte un lion et cétait le blason des Montfort (cf. p. /, 5a. fig. 4-2). Il faut Ce n était pas Ull milice noter seulement que lartiste, qui navait vu sans doute que des tournois, a donné aux chevaux des caparaçons de parade qui ne se portaient pas dans les batailles. cadeau, et il venait dau-tant mieux à propos quellenaud, plus brave sol-dat que bon ménager, était criblé de dettes, à tel point que, lannée précédente, il avait dû remettre au roi ladministrationdes revenus de ses deux baronnies. A coup sûr, cétait aussi lemoyen le plus efficace de toucher ces braves bourgeois. Lescoups dépée pouvaient séviter et on en guérissait, mais sen L INSURRECTION LYONNAISE /.3i. Fig. 4Ù0. Fig. 451. Fig. 452. I POltT ET LE MANIEMENT DE LLANCE AU XIIIe SIÈCLE. Daprès des miniatures du temps. prendre à leur escarcelle, cétait leur arracher lâme. Du resteils ne tardèrent pas à en voir bien dautres. Philippe de Montfort nétait pas venu seul. Le sire de la Tour, posté à Fourvière, et les Lyonnais, que le bruit dun grand événe-ment avait pu attirer sur les hauteurs, virent bientôt une longue Les archéologues ont confondu le faucre, dont il est si souvent question dans lestextes des xine et xive siècles, avec le cro-chet de fer fixé au plastron antérieur descuirasses de tournoi du xve siècle et des-tiné à soutenir les lances de joule, dunpoids énorme. Le faucre était en réalité lagarniture de la selle sur laquelle on appuyaitla lance avant de la mettre en arrêt. Au-jourdhui, comme la lance se manœuvre àmi-bois, elle se porte à létrier et

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