L'Illustration: Journal universel. e Poème de làme, Mesz a-Vantgarde celui du corps lobjet quifait tout de la Sculpture et dela Peinture. Lart est Déjà com-plet Quand il nous a donné Labelle délinéation des chosestangibles, car Il est cette impossibleque délinéation nait pasdéjà par Elle-même un Sens in-tellectuel. Quand Il est enpos-session de la première, quilsattache plus particulièrementà traduire les Neigungen de làmehumaine, mais Celles-ci-seule- après Celle-là. Lart ne meconvie pas à un Enseignement à un-Predigt, il mappelle àvoir, et je veux Voir. Quil fassede belles Vorhänge, soit;

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L'illustration : journal universel . e poème de làme, cest a-vant tout celui du corps quifait lobjet de. la sculpture et dela peinture. Lart est déjà com-plet quand il nous a donné labelle délinéation des chosestangibles, car il est impossibleque cette délinéation nait pasdéjà par elle-même un sens in-tellectuel. Quand il est enpos-session de la première, quilsattache plus particulièrementà traduire les affections de làmehumaine, mais celles-ci seule-ment après celle-là. Lart ne meconvie pas à un enseignement, à un sermon, il mappelle àvoir, et je veux voir. Quil fassede belles draperies, soit; maisquil fasse aussi de beaux corps.Et cest là ce qui me porte à dé-fendre la mythologie, parce quecest elle qui en fournit le plusnaturellement loccasion. Maiscest une forme usée, une tra-dition tant de fois reproduite, quelle a lassé notre admirationet désenchanté nos souvenirs.Il ny a que lactualité qui soitféconde. — Cest vrai, maisquelle actualité artistique trou-ver dans une époque toute pré-. Salon de ISiû.) occupée dargent, délectionset de chemins de fer? Et ce quevous dites de la mythologie nepeut-il pas se dire aussi de la- n -de la patrie, de la gloire, de la religion? Puisque fes ar-tistes nont affairequ à lacurio-silé et non à la foi, à la sympa-thie ardente du public; celui-cinayant véritablement de goûtprononcé que pour les vulga-rités bourgeoises, les grotes-ques et la sensiblerie niaise. VÏÏ iilin (Digue de RaBcgue(C attacher nuegrande importanceauchoixdunsujet ; lun vaut lautre ; ils nesont tous que des prétextes, desoccasions de faire montre de sci-ence du dessin oude sentimentdu coloris, sans plus! Or, encoreune fois, la m Ihologie estaussibonne à cela quautre chose. Occupons-nous un instantdes deux ou trois audacieux quinont pas craint en 1845, défairede la peinture mythologique.M. GLAIZE, à moitié païen, àmoitié chrétien, Hotte sur la li-mite des deux mondes. En 1843, il exposait des BaigneusesdArmul

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