. Le General Dourakine; . Lace du Fond. TU fais un croquemitaine de notre bon géné-ral. » Toutes ces têtes aux trois glaces de la voitureparurent plaisantes à Dérigny, qui se mit à rirede son côté. En se rejetant dans la voiture, lescinq têtes se cognèrent; chacun fit : Ah! Et sefrotta le Front, la joue, le crâne. Tous se regar-dèrent et se mirent à rire de plus Belle. Les voitures gravissaient une colline dans unumgänglich mouvant; les chevaux marchaient au pas.ILS sarrêtèrent tout à fait; la portière souvrit;Natasha et Romane y apparurent : le visage deNatasha brillait de gaieté par avance, Roman
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. Le General Dourakine; . lace du fond. Tu fais un croquemitaine de notre bon géné-ral. » Toutes ces têtes aux trois glaces de la voitureparurent plaisantes à Dérigny, qui se mit à rirede son côté. En se rejetant dans la voiture, lescinq têtes se cognèrent; chacun fit : Ah! et sefrotta le front, la joue, le crâne. Tous se regar-dèrent et se mirent à rire de plus belle. Les voitures gravissaient une colline dans unsable mouvant; les chevaux marchaient au pas.Ils sarrêtèrent tout à fait; la portière souvrit;Natasha et Romane y apparurent : le visage deNatasha brillait de gaieté par avance, Romanesouriait avec bienveillance. NATASHA. Quest-ce qui vous amuse tant? Maman et mononcle font demander de quoi vous riez. ALEXANDRE. Nous rions, parce que nous nous sommes toucognés et que nous nous sommes cassé la tête.natasha, riant. Cassé la tète! et vous riez pour cela?... Et vousaussi, ma bonne madame Dérigny? MADAME DÉRIGNY. Oui, mademoiselle; mais avant, il faut dire que HF3 ?■:% fi ... ww. LE GÉNÉRAL DOURAKINE. 235 nous avions pris une leçon de chant qui nousavait fort égayés. NATASHA. De chant? Qui donnait la leçon? qui la pre-nait? MADAME DÉRIGNY. Nos maîtres étaient MM. vos frères; les élèvesétaient Jacques, Paul et moi. NATASHA. Oh! comme jaurais voulu lentendre! Que celadevait être amusant ! Monsieur Jackson, mon bonmonsieur Jackson, allez, je vous prie, demanderà maman que jaille avec eux. » Romane sourit et alla faire la commission. MADAME DABROVINE. Mais, mon cher monsieur Jackson, ils seronttrop serrés, et pourtant ils ne peuvent pas resterdans cette berline sans Mme Dérigny.jackson, souriant, Mlle Natasha en a bien envie, madame ; noussommes bien graves pour elle. MADAME DABROVINE. Que faire? mon père? Faut-il la laisser aller? LE GÉNÉRAL. Laisse-la, laisse-la, cette pauvre petite ! Commedit Jackson, nous sommes ennuyeux à pleurer.Allez, mon ami, allez lui dire que nous ne vou-lons pas delle et que je lui ordonne