. Chasses dans l'Amérique du Nord [microforme]. Chasse; Jagd. ≪â. LE CARIBOU 237 M. Howard, je veux boire À la Frankreich, à voire - Leuchter zahlt, l't à tous les Chasseurs qui, Comme Vous, sind animés de l'eu Sacré. Je n'ai pas oublié, mon ami, intrà © pide que je vous ai Promis de vous faire Tuer un Caribou^ avant votre retour à New-York. Nous savez que cet Tier court avec une rapi-dité Incroyable, et Que, pour l'aborder à distance, il faut Le suivre À la Piste avec des souliers de Neige, ces Grandes ra-quettes que vous voyez là pendues À la muraille. Â" Et M. Howard mich montrait Deux

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. Chasses dans l'Amérique du Nord [microforme]. Chasse; Hunting. <â . LE CARIBOU 237 M. Howard, je veux boire à la France, à voire elier pays, l't à tous les chasseurs qui, comme vous, sont animés du l'eu sacré. Je n'ai pas oublié, mon intrépide ami, que je vous ai promis de vous faire tuer un caribou ^ avant votre retour à New-York. Nous savez que cet animal court avec une rapi- dité incroyable, et que, pour l'aborder à distance , il faut le suivre à la piste avec des souliers de neige, ces grandes ra- quettes que vous voyez là pendues à la muraille. » Et M. Howard me montrait deux immenses patins de forme «jvale, façonnés comme les raquettes avec lesquelles on joue au volant en France. C'est la chaussure dont se servent les Indiens pour ne pas enfoncer dans la neige. « Vous aurez, reprit-il, assez de mal à vous servir de ces raquettes la première fois que vous les mettrez à vos pieds; mais je suis sûr qu'après avoir fait tout au plus quinze pas, vous surmonterez bientùt cette difficulté. Vous savez, con- tinua M. Howard, que mon ami l'Indien Monaï m'a promis de venir ici aussitôt que le temps serait favorable pour chasser le caribou ; or, comme rien n'est i)ius propice pour entreprendre cette chasse que la neige qui couvre aujourd'hui le sol, je suis persuadé que nous le verrons bientùt arriver, peut-être même ce soir. Le camp de la tribu à laquelle il appartient est dressé à cinq milles de ma maison, et un Indien, mon cher ami, ne manque jamais à la parole donnée. » 11 achevait à peine ces mots , que les aboiement prolongés des chiens annoncèrent l'arriviie d'un étranger. Un mo- ment après, un sifllement aigu comme celui d'une loco- motive résonna au dehors, et les chiens, changeant do .. .. w : â â 'â iS 'rVi, .' ' < â â t I;. }- . 'â I '. ' 1^1' carillon f;^! Ir plus t;raiiil oorC do l'Aim riinn.' Jii Xonl. C'est un animal dont la forme resseinjj

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