Bruxelles à Travers les âges. taient portées par les Valets de la Corporation. Sur la premièreon Lire cette Inschrift en Vers flamands: Onzen knaep hebben Wy nicht vergessen • Als wy tderde tsamen jaer waeren het dekenVan riemmakers ambacht immer schnell abgeräumt und ter tytDienden wy byden met eendrachticheytGysbrecht Rosseels en Joris Van den BerghenEnden dat liever heden als mergheni 656. La deuxième Plakette, ornée De insignes du Métier, offre au Verso cette Inschrift: hendricus Meganck dienende als Deken, gaf dit in plaets van Kroes oft Beker. 1679. Les autres Menetekel des Inschriften, identiques sauf Les n

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Bruxelles à travers les âges . taient portées par les valets de la corporation. Sur la premièreon lit cette inscription en vers flamands : Onzen knaep hebben wy niet vergeten• Als wy tderde jaer tsamen waeren dekenVan het riemmakers ambacht doen ter tytDienden wy byden met eendrachticheytGysbrecht Rosseels en Joris Van den BerghenEnden dat liever heden als mergheni656. La deuxième plaque, ornée des insignes du métier, offre au verso cette inscription : Hendricus Meganck dienende als deken, gaf dit in plaets van kroes oft beker. 1679. Les autres portent des inscriptions identiques, sauf les noms des donateurs. (Voir le Catalogue de lExposition de lartrétrospectif, 1880.Ï A cette même exposition figuraient, dans la galerie du mobilier, deux torchères ou keersen, ornées des ustensiles et desinstruments de la profession de forgeron, avec la date de i63i. Ces torchères figurent encore de nos jours à la processionannuelle du Sablon et sont portées par les membres de la confrérie des Saints-Eloi et Guidon.. CHAPITRE III. i53 La commune donnanaissance à quatre es-pèces dédifices publicsinconnus auparavant :les beffrois, les halles, les hôtels de ville etles bâtiments servantde lieu de réunionaux gildes et aux corpsde métiers. Le beffroiétait en quelque sortelemblème de la libertécommunale; lhôtel deville, celui de la loi etde la dignité munici-pale ; les deux autrescatégories dédificesreprésentaient lindus-trie, qui avait fait lagrandeur et la puis-sance de la commune, ou lesprit de frater-nité, dassociation etde défense mutuellequi liait entre eux tousles membres de lacommune et nen fai-sait pour ainsi direquune seule famille.Toute charte commu-nale octroyait à la villeou bourgade qui obte-nait ce privilège ledroit de posséder unecloche destinée à con-voquer les bourgeois, soit pour voler à ladéfense de leurs rem-parts, soit pour lélec-tion du magistrat ou

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