. Bruxelles à travers les âges . econsiste dans la Substitution dune grille à la clôture rustique de verdure quilentourait primitivement. Divers Plans avaient été élaborés. CE Nest quen 184gquon entreprit les travaux; les frais furent couverts au moyen dune souscriptionpublique. On étabnit un trottoir autour du Parc, qui fut ceint dun grillage porté surun socle de pierre peu élevé. (1) Louis Hymans, dans Bruxelles à travers les âges, a donné une très minutieuse description du Parc, tel quil fut dessinéet ornementé par Zinner. KAPITEL II 167 A lemplacement quoccupe aujourdhui le Grand Bass

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. Bruxelles à travers les âges . econsiste dans la substitution dune grille à la clôture rustique de verdure quilentourait primitivement. Divers plans avaient été élaborés. Ce nest quen 184gquon entreprit les travaux ; les frais furent couverts au moyen dune souscriptionpublique. On établit un trottoir autour du Parc, qui fut ceint dun grillage porté surun socle de pierre peu élevé. (1) Louis Hymans, dans Bruxelles à travers les âges, a donné une très minutieuse description du Parc, tel quil fut dessinéet ornementé par Zinner. CHAPITRE II. 167 A lemplacement quoccupe aujourdhui le grand bassin, en face du Palais de laNation, sétendait une pelouse, que lon appelait le Bassin-Vert. En 1841, on y construisit un pavillon de fer. La musique du régiment des guidesy donnait des concerts tous les dimanches, de midi à deux heures. Mais commela silhouette du pavillon masquait fâcheusement la façade du Palais de la Nation, on le déplaça et on linstalla clans le quinconce où il se trouve encore aujourdhui.. Vue du Bassin-Vert au Parc en 1837.Daprès la lithographie de Borremans et Baugniet. La pelouse, au milieu de laquelle on lavait primitivement dressé, fut transforméeen bassin, en i855, lorsque lon amena dans la capitale les eaux de Braine-lAlleud (i).On avait songé un moment à y élever la statue de Charles de Lorraine, du sculpteurJéhotte, qui orne la place du Musée. Le théâtre du Parc navait pas la vogue dont il jouit depuis quelques années.Ce nétait en réalité quune succursale du Grand-Théâtre, placée sous la mêmedirection et ne constituant avec lui quune seule et même entreprise théâtrale. On y (1) Il y eut à cette occasion une fête à laquelle assista le roi et qui fut égayée, dit-on, par un mot joyeux de Charles deBrouckère, dont la verve ne seffrayait pas dune franche gauloiserie. « Sire », dit le bourgmestre au moment où il sapprêtaità ouvrir la vanne, « je vais lâcher leau ». Les journaux lont rapporté, ma

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