. Annales des Sciences Naturelles Botaniques. Forschung SUR LES EUPHORBIACÉES. 225 venons de citer, sait pourtant que rien n'est plus va-riable que la manière d'être du mésophylle, suivant les Bedingungen d'éclairage, Dans lesquelles une plante est Pla-cée. Cette manière d être ändern, ou peut Changer, non seulement d'une plante à l'autre, dans une même Espèce, mais Encore d'une Feuille à l'autre dans une même plante, et en Taucher Punkte d'une même feuille. Le Tissu lacuneux, chez les Cluytia, Porte de Grandes poches, homologen de Celles de la tige, Dans lesquelles Les cellules se sind r

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. Annales des Sciences Naturelles Botaniques. RECHERCHES SUR LES EUPHORBIACÉES. 225 venons de citer, on sait pourtant que rien n'est plus va- riable que la manière d'être du mésophylle, suivant les conditions d'éclairage, dans lesquelles une plante est pla- cée. Cette manière d être change, ou peut changer, non seulement d'une plante à l'autre, dans une même espèce, mais encore d'une feuille à l'autre dans une même plante, et en divers points d'une même feuille. Le tissu lacuneux, chez les Cluytia, porte de grandes poches, homologues de celles de la tige, dans lesquelles les cellules se sont résorbées, et où s'amasse une substance oléo-résineuse. L'oxalate de calcium est extrêmement abondant, dans le parenchyme chlorophyllien (les Euphorbes sont peut-être les seules à n'en pas posséder) et on est même peu habitué à trouver, dans une feuille, des cristaux aussi volumineux que ceux que l'on y rencontre. Le plus souvent, le tissu en palissade est interrompu par de grosses macles, tandis que le tissu lacuneux en renferme de plus petites. Parfois, à côté de macles de grandeur moyenne, on en trouve, dans une même feuille, de beaucoup plus grosses, allant d'un épiderme à l'autre, comme pig. 56. — AcalyphaMacafeana. cela se voit chez certains Aca- lypha (fîg. 56). Nulle part cependant je n'en ai observé d'aussi volumineuses que dans certaines Crotons, comme Crolon Schimperianus, ou encore Eremocarpus setigerus, où elles font saillie sur les deux faces de la feuille (fîg. 57). Ailleurs, au lieu de macles, ce sont des cristaux que l'on rencontre dans le mésophylle. M. Penzig (1) a décrit, chez les Aurantiacées, des cristaux (1) A. Penzig, Sull'esistènza di apparechi illuminatori neWinterno d'alcune piante. ANN. SC. NAT. BOT. XV, 15. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and appearance of these illustrations may not perfectly resemble the

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